Cyberlib : quand l’automatisation vient disrupter le métier du hardening
Le hardening n’est pas un sujet nouveau. Depuis plus de vingt ans, les équipes informatiques savent que configurer correctement les postes de travail et les serveurs est un pilier fondamental de la cybersécurité.
Le principe est simple : réduire la surface d’attaque en fermant toutes les portes inutiles, en désactivant les options risquées, en appliquant les réglages de sécurité recommandés par les autorités et les bonnes pratiques.
En théorie, c’est évident.
En pratique… c’est un cauchemar.
Le hardening traditionnel : un parcours du combattant
Configurer un système d’exploitation, ce n’est pas une mince affaire.
- Un Windows, c’est plus de 620 paramètres de sécurité possibles.
- Chacun peut avoir des impacts fonctionnels ou provoquer des effets de bord.
- Les changements se font via des clés de registre, des scripts PowerShell ou des GPO : bref, il faut mettre les mains ****dans le cambouis et toucher au moteur.
Résultat :
- Les équipes hésitent à durcir de peur de casser des usages.
- Les tests sont longs, fastidieux, coûteux.
- Les mises à jour sont un cauchemar à maintenir, à chaque nouvelle directive ou évolution réglementaire.
Même les particuliers en ont un aperçu : qui n’a jamais transpiré face à un message de Windows demandant “d’activer une option de sécurité”, sans vraiment comprendre ce que ça implique ? Dans les entreprises, la même scène se joue… à l’échelle de milliers de postes.
C’est pour cela qu’il existe aujourd’hui des experts du hardening : consultants spécialisés, équipes MSSP, experts internes. Mais soyons honnêtes : la majorité des SI repoussent le problème, faute de temps, de compétences ou de moyens.
Cyberlib : automatiser 80 % du métier du hardening
Chez Cyberlib, nous avons pris ce problème à bras-le-corps.
Notre conviction : le hardening doit devenir simple, progressif et accessible à tous.
Comment ? En automatisant la chaîne complète du métier :
- Déploiement automatique, en un clic : fini les scripts PowerShell ou les GPO bricolées. Nos solutions appliquent directement les bonnes règles sur des milliers de terminaux.
- Modèles embarqués : basés sur les best practices (ANSSI, CIS, ISO, NIST…) mais aussi sur des modèles progressifs pour durcir le parc en douceur, sans casser l’expérience utilisateur.
- Console no-code : plus besoin de compétences pointues en scripting. Les politiques de sécurité se gèrent simplement, avec une interface claire et pédagogique.
- Vers l’IA : demain, nos systèmes s’appuieront sur l’intelligence artificielle pour accompagner la stratégie de hardening et couvrir la quasi-totalité du métier, de la définition à l’exécution.
Une disruption claire : du consultant à la machine
Jusqu’ici, le métier du hardening reposait sur deux piliers :
- le consultant expert, chargé de définir la stratégie et les priorités,
- les équipes opérationnelles, chargées de déployer, tester et maintenir les configurations.
Avec Cyberlib, nous avons automatisé 80 à 90 % de ce travail.
Le consultant reste essentiel pour la vision stratégique et la contextualisation métier, mais nous lui enlevons la charge fastidieuse et chronophage de mises à jour laborieuse, de la gestion des effets de bord, du paramétrage et du déploiement.
Résultat :
- moins d’erreurs humaines,
- plus de rapidité,
- une adoption massive possible même dans les structures qui n’avaient pas les moyens d’un projet hardening complet.
- des politiques de sécurité homogènes et mises à jour.
L’objectif : rendre la prévention enfin accessible
Depuis vingt ans, tout le monde le sait : le hardening est une priorité absolue. Pourtant, sur le terrain, il est encore extrêmement mal couvert.
Pourquoi ? Parce qu’il est trop complexe et trop coûteux.
C’est précisément ce que Cyberlib change :
- rendre le hardening simple,
- le rendre efficace,
- le rendre accessible à tous.
Pour que la cybersécurité cesse d’être un empilement de solutions palliatives, et devienne enfin une stratégie préventive, ancrée dans la configuration même des systèmes.
Chez Cyberlib, nous croyons que la cybersécurité de demain ne se gagnera pas seulement dans les SOC ou les EDR… mais bien dans la manière dont vos systèmes apprennent à se défendre eux-mêmes.
