Cyberlib réinvente le hardening : la cybersécurité préventive enfin accessible
En cybersécurité, il existe une règle d’or que tout le monde connaît : mieux vaut prévenir que guérir.
Et pourtant, dans la plupart des entreprises, on fait l’inverse : on empile antivirus, firewalls, EDR, SIEM, SOC… Bref, une vraie usine à gaz pour détecter et réagir après coup.
Le problème ? C’est comme mettre plus de serrures après avoir laissé la porte d’entrée grande ouverte.
C’est là qu’entre en scène un concept un peu oublié mais pourtant essentiel : le hardening. Et c’est précisément ce que Cyberlib vient disrupter.
Le hardening, kézako ?
Le hardening, c’est l’art de bien configurer ses systèmes (ordinateurs, serveurs, postes de travail) pour réduire au maximum les failles exploitables.
Moins de portes ouvertes = moins de surface d’attaque pour les hackers.
Ça paraît simple, mais en réalité, c’est un enfer.
Un système Windows, par exemple, c’est plus de 600 paramètres de sécurité possibles. Lesquels activer ? Lesquels désactiver ? Et surtout, quels impacts sur les utilisateurs si on se trompe ?
C’est tellement complexe que la plupart des équipes repoussent le problème. Résultat : on dépense des fortunes pour se défendre après l’attaque… au lieu de verrouiller la maison dès le départ.
Pourquoi c’est si complexe aujourd’hui ?
Dans une entreprise, durcir les systèmes, ça veut dire :
- écrire des scripts (souvent incompréhensibles),
- plonger dans les clés de registre de Windows (comme jouer au chirurgien en aveugle),
- tester et re-tester pour éviter de bloquer les utilisateurs,
- recommencer à chaque nouvelle directive de sécurité.
Bref, un travail laborieux, risqué et chronophage. Pas étonnant que beaucoup de DSI préfèrent fermer les yeux…
Cyberlib : on appuie sur “simplifier”
Chez Cyberlib, on a décidé d’attaquer ce problème à la racine.
Notre mission : rendre le hardening simple, automatique et accessible.
Concrètement :
- Un clic suffit : déploiement automatique sur des milliers de machines, sans script ni bricolage.
- Des modèles prêts à l’emploi : basés sur les recommandations (ANSSI, NIST, ISO, CIS…), avec la possibilité d’y aller progressivement, pour ne pas tout casser d’un coup.
- Une interface no-code : on configure la sécurité comme on règle Netflix, sans besoin d’ingénieur expert.
- Et demain, l’IA pour accompagner la stratégie et proposer les bons réglages selon le contexte.
Disrupter un métier : du consultant au bouton “on”
Jusqu’ici, le hardening reposait sur deux acteurs :
- le consultant expert, qui conseille sur la stratégie,
- les équipes IT, qui bricolent scripts et GPO pour appliquer tout ça.
Avec Cyberlib, 80 % de ce travail est automatisé.
Le consultant peut se concentrer sur la vision, pendant que la machine s’occupe de la lourdeur technique.
Résultat : moins d’erreurs, moins de délais, plus d’efficacité.
Pourquoi c’est une vraie révolution ?
Parce que depuis 20 ans, tout le monde sait que le hardening est crucial.
Mais sur le terrain, il est quasi absent : trop complexe, trop coûteux, trop risqué.
Cyberlib change la donne en rendant le hardening :
✔️ simple
✔️ progressif
✔️ abordable
En clair : on arrête de multiplier les “pansements technologiques” et on s’attaque enfin au cœur du problème : réduire la surface d’attaque avant même que les menaces arrivent.
Notre conviction chez Cyberlib est simple :
la cybersécurité de demain ne se gagnera pas en rajoutant toujours plus d’outils après coup, mais en apprenant à nos systèmes à se défendre par eux-mêmes.
